Les tranchées de Fanny Britt

Maternité, ambiguïté et féminisme, en fragments

Fanny Britt discute de maternité avec son cercle d’amies. C’est toujours intéressant. C’est souvent bouleversant. C’est parfois inattendu. C’est jamais platte.

J’ai l’impression qu’elle parle de moi et de mes expériences. Elle est là up there dans la catégorie d’Elena Ferrante.


Là où je me terre de Caroline Dawson

J’ai adoré. J’ai été émue. J’ai rit. J’ai pleuré.

Les chapitres sont courts. Le style est convivial et vrai.

Caroline, tu pourrais être mon amie.


Les maisons de Fanny Britt

Chère Fanny,

Tu ne me connais pas, mais je te connais par Marie-Louise. J’adorais quand elle disait à la fin: Je vous embrasse. J’avais l’impression que cette embrassade chaleureuse m’était destinée à moi seule. Je l’écoutais religieusement. C’est par elle que je t’ai connue et aimée au début.

De tous temps, j’aime ton regard ému et tellement authentique sur la famille, l’amour, les chemins de nos vies. Il y a dans tes propos un peu de mélancolie sur le passé et d’espoir dans l’avenir. Chaque fois je suis touchée par la justesse de tes mots.

Dans ce livre, tu parles de lieux que je connais bien et que j’ai moi aussi fréquentés. Je t’ai suivie dans toutes les rues, dans tous les escaliers. Je t’ai connue dans toutes ces années.

Merci pour ce livre et pour le bonheur de l’avoir lu.

Pascale


La vie mensongère des adultes d’Elena Ferrante

Encore une fois, j’aime. J’aime l’amour. J’aime le style. J’aime le propos. J’aime l’atmosphère. J’aime l’Italie.

Je n’ai aucun sens critique et je l’assume.