Les grand-mères de Doris Lessing

Ça parle d’amitié, de maternité, d’amour conjugal, de grand amour, de la facilité à vivre que certains ont et que d’autres n’ont pas. C’est une histoire originale, qui raconte quatre vies, toutes engagées dans un même combat.
Je l’ai vu comme un roman sur les splendeurs et mystères de la symbiose.
Mon seul point négatif, la traduction est franchouillarde.

C’est pas moi, je le jure! De Bruno Hébert

J’ai lu avec beaucoup de plaisir les aventures de Léon. Léon est né en 1958, la même année que mon chum. Étant donné que mon chum a souvent 8 ans dans sa tête, pendant que je lisais, j’ai souvent confondu les images du Petit Léon et du Petit Robert dans ma tête.

J’ai eu de grands frissons quand Léon dépassait les limites. Je me disais que ça n’avait aucun sens. Quelqu’un quelque part allait l’arrêter. J’ai eu de grandes peines quand il a pensé que sa maman partait loin. J’ai pleuré et maudit la vie quand j’ai compris son destin.

Mon cœur a été chaviré, transporté, barbouillé. Des pages de pur bonheur. Des suspens épuisants. Des rebondissements surprenants. Des rencontres surdimensionnées. J’ai adoré.

En retournant à la première page après avoir terminé la lecture. J’ai relu le commentaire du médecin à l’accouchement. J’ai repensé à Forest Gump et je me suis dit que la grossesse c’est comme une boite de chocolat. You never know what you’re gonna get.

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