La femme qui ne vieillissait pas de Grégoire Delacourt

Ho! Que j’ai aimé. Ça m’a réconciliée (pour un court moment) avec ma finitude. J’ai pensé, encore, que c’est difficile de ne pas être « normal ». J’ai pensé, encore, que c’est insupportable d’être plantée là.

J’aime cet auteur. Il m’énerve avec ses phases franchouillardes, mais je l’aime. Le le lis comme si ma délicieuse copine française me faisait la lecture. Je pardonnerais le vocabulaire pompeux et les phrases assassines.

Et finalement, j’aime les architectes. J’aime les designers. Le livre avait tout pour me plaire.

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One Comment on “La femme qui ne vieillissait pas de Grégoire Delacourt”

  1. MJ dit :

    « il m’énerve, mais je l’aime »
    Ça serait une bonne première phrase de roman.
    Continue, t’es bien partie!


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